« Cher Monsieur Signac,
J’ai toujours sur moi un petit cadre en bois doré, au travers duquel je contemple les couchers de soleil ; aujourd’hui je m’en sers pour vous regarder, vous et la société des Indépendants… »
Francis Picabia, « à monsieur Paul Signac, président de la société des Indépendants », 1922 (in Francis Picabia, « Ecrits critiques », ed. Mémoires du livre).